AMi2 vous propose une approche stratégique pour améliorer la performance des établissements de santé face à la pénurie de personnel et à l’inflation. Nous nous intéresserons à l’optimisation des processus et des ressources, l’intégration de la technologie et de l’automatisation, la formation et la gestion du personnel, l’amélioration de la qualité des soins et de la satisfaction des résidents, ainsi que la gestion financière.
En tant que partenaire, AMi2 présente expertise et ressources pour adapter des solutions sur mesure, afin de maintenir la performance des établissements de santé malgré les défis actuels.
Améliorer la performance de votre établissement, dans un contexte de pénurie de personnel et d’inflation, pour citer ce qui caractérise la période actuelle, est un moyen stratégique de maintenir sa viabilité, tout en offrant une qualité d’accueil et de prise en charge des résidents, malgré les défis économiques.
Mais sur quels leviers jouer ? Que privilégier ? Et comment AMi2 peut vous accompagner?
Voici les différents points que nous avons sélectionnés pour y répondre :
Offrir un service d’accueil et de soin de qualité constante est essentiel pour améliorer la vie des résidents.
Cela implique d’assurer des soins médicaux de haute qualité et d’avoir une communication ouverte avec les résidents et la famille.
Réduire les taux de rotation du personnel est essentiel pour maintenir la continuité de soins de qualité.
L’inflation peut entraîner une augmentation des coûts liés aux matières premières, à l’énergie et aux fournitures. En améliorant l’efficacité opérationnelle et en réduisant le gaspillage, les établissements de santé peuvent compenser ces hausses de coûts, ce qui est essentiel pour maintenir la rentabilité.
Dans un contexte d’inflation et de pression sur le personnel, maintenir ou augmenter son efficacité peut être un défi. L’optimisation des processus et la réduction des coûts opérationnels par la formation du personnel ou l’acquisition de nouvelles solutions peuvent contribuer à l’améliorer.
Dans un environnement où le personnel qualifié est rare, il est essentiel d’optimiser le travail des collaborateurs existants. En améliorant les processus opérationnels grâce aux nouvelles technologies comme les logiciels de gestion, par exemple pour la restauration ou le linge, les établissements peuvent maintenir une qualité d’accueil élevée malgré des effectifs restreints.
De nouveaux produits et solutions, fruits de l’innovation, arrivent en permanence sur le marché. Il est essentiel d’être attentif à ceux-ci pour trouver plusieurs angles d’amélioration des conditions des résidents et des soignants ou pour réduire les coûts.
En améliorant leur performance, les établissements se préparent à mieux naviguer dans les défis futurs, que ce soient les aléas économiques, les nouvelles réglementations ou les changements de conjoncture. L’adaptabilité et la flexibilité sont essentielles pour anticiper et répondre aux défis à venir.
En conclusion, prendre soin des résidents et gérer efficacement les établissements de santé, tels que les EHPAD, revêt une importance capitale dans un contexte de défis nouveaux sur la santé. En service, l’optimisation des ressources humaines, la réduction des coûts opérationnels, l’adaptation aux nouvelles solutions, l’amélioration de l’efficacité et la préparation à l’avenir, ces établissements peuvent, non seulement améliorer la vie de leurs résidents et de leur personnel, mais aussi renforcer leur efficacité et leur résilience face aux changements de l’avenir.
En fin de compte, la recherche constante de l’excellence dans la
prestation de soins et de services est la clé pour assurer la pérennisation des établissements de santé.
Bonjour, pouvez-vous vous présenter ainsi que votre entreprise ?
Bonjour, je suis Louis, un des deux co-fondateurs de l’entreprise Nona, avec Arthur Dion. Nous avons créé Nona à la fin de notre master de sciences sociales, de design et d’ingénierie.
Nous avons travaillé sur le sujet de la transition alimentaire et identifié le levier de la restauration collective, notamment pour améliorer les repas des enfants et réduire les risques de maladie type obésité, diabète 2, cardiovasculaire ou encore perte de la fertilité. Un levier de sensibilisation et d’éducation donc, puisque 7 enfants sur 10 mangent à la cantine et un levier en terme de quantité impressionnant concernant les EHPAD. Cela permet de structurer les filières agricoles et il y a une ambition réglementaire par la loi EGAlim.
Notre outil de gestion se veut ainsi extrêmement simple, rapide à mettre en place et facilitant les bonnes pratiques. L’application se présente sous la forme d’un menu ou il est possible d’ajouter des fiches recettes en fonction de la saisonnalité et des critères nutritionnels. Cela va permettre d’anticiper les quantités à commander et de gérer les entrées et les sorties stock, le suivi budgétaire, statistique et administratif ou encore la communication.
Comment s’est développée l’activité de Nona depuis sa création ?
En deux années, nous sommes passés de 2 personnes à une trentaine aujourd’hui. Cela nous permet d’être beaucoup plus efficace. Nous sommes capables de paramétrer un compte en moins d’une semaine à partir de la signature et la formation dure en moyenne 1 mois et demi. Cela permet d’équiper rapidement de nouvelles structures et de les rendre autonomes.
Au vu de l’évolution de la société, peut-on considérer que l’application a trouvé son public ?
Oui, je le pense. Nous sommes en pleine révolution de la restauration collective. La première révolution s’est opérée au moment des réglementations données par le HCSP, qui gère les réglementations sur l’hygiène, dans les années 90/2000. La deuxième révolution a eu lieu avec l’introduction du GEM-RCN, pour affiner le suivi nutritionnel.
Enfin, EGAlim intervient comme une troisième révolution. Tout d’un coup, le sens de notre alimentation est questionné, que ce soit son apport ou sa provenance. Cette révolution est une constellation d’enjeux.
Par exemple, pour travailler sur des produits de meilleure qualité, il faut à la fois être capable de réduire son gaspillage et d’améliorer sa fiche technique. Nona existe dans cet objectif.
Un mot de la fin ?
“La transition alimentaire plat à plat” ; c’est notre slogan ! Nous souhaitons davantage exploiter le partenariat avec AMI2. Il y a une vraie valeur ajoutée à travailler avec une centrale et un outil comme le nôtre de concert. De cette manière, notamment sur les aspects budgétaires, vraiment gagner de l’efficience.
Louis SIBILLE – Co-fondateur de Nona
Comment Nona répond aux difficultés liées à l’inflation ?
C’est justement en période d’inflation qu’il faut faire d’autant plus attention à ses achats et être dans une logique d’optimisation. Aujourd’hui les commandes sont, encore souvent, faites à la semaine, sans forcément trop d’anticipation. D’après nos études, il faut, dans un premier temps, travailler sur une fiche technique afin de calculer exactement les bons ingrédients et les quantités exactes à commander. Cela permet aussi de budgétiser les fiches techniques à l’unité puis de les ordonner en menus à la semaine pour anticiper les dépenses. Si l’on est lié avec les produits des fournisseurs et les prix ; comme avec AMI2, cela permet vraiment de budgétiser le menu avant même la commande. A partir de ce moment, il est encore possible d’avoir une bonne vision d’ensemble. Cela permet d’avoir un impact sur le contrôle de son budget et de sa trésorerie.
En ce qui concerne Nona, la solution est un investissement tout à fait efficace, puisqu’elle représente moins d’un centime par repas. Il faut le voir comme un moyen d’intégrer les bonnes pratiques pour optimiser la rentabilité des cantines. Le mieux me semble de réaliser ses menus 1 à 2 mois à l’avance et ajuster 2 semaines en amont. A mon sens, 5 points sont à suivre :
1. Réaliser des fiches techniques pour avoir les bonnes quantités.
2. Commander au plus juste.
3. Ajuster le menu en fonction de l’évolution des prix.
4. Être attentif au gaspillage.
5. Gagner du temps sur la partie administrative pour avoir plus de temps pour travailler les aliments bruts qui coûtent moins cher, qu’acheter des produits transformés.
La solution va-t-elle connaître des modifications dans le futur ?
Notre objectif est de venir avec un outil beaucoup plus simple et moins cher, de proposer un gain d’efficacité sur la gestion des commandes et ensuite, nous accompagnons l’acteur à aller sur une gestion de menu, qui d’après nous est l’approche qui permet d’aller plus loin.
Comment se positionne Nona vis-à-vis de la loi EGAlim ?
Nona s’est créé après la loi EGAlim avec une volonté de directement l’intégrer. Avec l’outil, il est possible de suivre en temps réel le pourcentage de produits Bio et de le télédéclarer au service “ma cantine”. La partie suivi de l’allergène, label et origine des produits s’affichent en impression menu et au niveau de l’application mobile. Le suivi du gaspillage est réalisable sur l’outil, avec des statistiques. Enfin, pour le point “végétarien”, il y a des centaines de fiches techniques sur l’outil pour aider à découvrir de nouvelles recettes.
Il est possible de les modifier, d’en acheter ou d’en créer de nouvelles.